On m’avait parlé des coureurs des bois, des premiers colons, des bucherons et des défricheurs.
Mais quand je remontais le long des rivières, m’aventurant sur les rivages vierges, je découvris une toute autre présence, beaucoup plus profondément ancrée et enracinée dans le sol.
Ici la nature avait été laissée intacte, non modelée par la main des hommes comme dans les vieux pays. Ici les anciens avaient épousé cette terre, l’avaient aimé avec respect sans l’altérer.
(Célébration de la Journée nationale des peuples autochtones)
Comme c’est beau!
Magnifique!