
Il n’y a pas de sot métier
J’y ai appris que le joli nom de Maître des Hautes Œuvres désignait un bourreau.

J’y ai appris que le joli nom de Maître des Hautes Œuvres désignait un bourreau.

Il faisait beau. J’étais en pause. Le jardin de Stephanie bourdonnait d’activité.

Je voulais écrire un billet sérieux, mais je me suis découragé après avoir écrit le titre.

En réalité, j’ai passé plus de temps à rêvasser au soleil, appuyé contre ma pelle, qu’à travailler.

J’imagine des humains du paléolithique, disons il y a deux cent mille ans.


Monsieur de la Silhouette l’a échappé belle, mais pas le maréchal de la Palice. Le pauvre.

Déjà que son nom venait du basque xiloeta, «un lieu de trous, de grottes, de creux ou de bas-fond».


Mes rêves d’adolescent vivaient dans le Midi de la France. Mais la Provence de Daudet était riche en fiction, je ne me faisais pas d’illusions. Jusqu’à récemment.
