Le babouin, mon clavier et moi

On a confié à un malheureux singe, enchaîné pour l’éternité à un poste de travail, la tâche de produire en tapant au hasard sur son clavier l’ensemble des œuvres écrites et à écrire du patrimoine humain. La méthode a pour inconvénient que le fatras l’emporte largement sur l’utilisable.

La masse de phrases insensées ou mal balancées tapées par le babouin (ou le ouistiti) éternel exige d’être périodiquement vidangée. Le trop plein s’écoule par mon clavier via mes doigts chaque fois que j’essaie d’écrire quelque chose qui a du sens. (La preuve.)

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