Je suis Eda, une chilienne, à la retraite depuis les 45 ans à cause d’une maladie. Ceci m’a donné plus de temps pour mettre en papier et en couleur ce qui est important pour moi. J’ai dédié ma vie à peindre ce qui souffre, spécialement, ce qui souffre mais qui n’est pas entendu. J’aime peindre aussi la nature et le corps humain. Lire le tout dans la page “À propos…” :
À propos…
Je suis Eda, une chilienne à la retraite depuis les 45 ans à cause d’une maladie. Ceci m’a donné plus de temps pour mettre en papier et en couleur ce qui est important pour moi. J’ai dédié ma vie à peindre ce qui souffre, spécialement, ce qui n’est pas entendu.
Ce que je peins le plus ce sont les animaux, surtout les chiens errants. J’ai grandi en Amérique Latine où les chiens se promènent dans les rues. Ils ne sont pas tous sans domicile fixe. Quelques uns s’échappent de chez eux pour aller se balader et visiter les amis.
J’ai 61 ans dont les 22 premières je les ai vécu au Chili et les restants au Québec.
Quand j’habitais au Chili j’observé comment les gens traitaient les animaux, surtout les chiens, et par la suite c’est l’Internet qui m’en informé.
Je peux juste vous dire que quand je vois un animal qui n’est pas respecté, qui est maltraité ou qui souffre, je pars en pleurs. C’est pour cela que pour moi c’est important les peindre. Je crois que les posant sur le papier ou canevas, en lui donnant de la couleur, je leur donne de l’amour et je leur dit : « je te vois ».
Mise à part les chiens errants, je peins aussi tous les animaux car d’une manière ou d’une autre, tous souffrent à cause de l’humain, la déforestation, les pesticides, l’avarice, l’abandon, la méchanceté ou, simplement, ne pas y penser.
Je peins aussi la nature comme homage à notre belle planète.
J’utilise différents médiums, mais surtout l’eau, comme l’aquarelle et l’acrylique. Parfois, je m’amuse avec les pastels et la gravure.
En plus, je m’intéresse beaucoup à la production de sacs écologiques, pour libérer la planète de sa charge de plastique.