Nous sommes choyés de vivre où l’année est divisée en quatre belles saisons. Nos saisons sont toutes aussi intrigantes et charmantes l’une que l’autre. Une petite amélioration, toutefois, serait d’étirer les saisons plus tendres, les entre-deux. Le printemps qui est toute fraîcheur et voit l’espoir renaître. Et l’automne, alors que la frénésie de l’été cède graduellement à l’intériorité, au recueillement.
Photos de flore de JPB, Kamé Walker et moi-même; celles des femmes au travail de Wikimedia (hiver, printemps, été, automne); collage par moi-même