



Rémi
Chouette rayée, petit fuligule et cardinal rouge. Photos: Rémi Lemieux
Mon ami et voisin Rémi s’est toujours intéressé aux oiseaux, même quand il était enfant, mais c’est en 2011, lors d’une expédition au Kilimanjaro organisée par la Fondation Lani que cet intérêt est devenu plus marqué encore.
Il avait alors comme mission de documenter en photos l’expérience des participants, mais, chemin faisant, il s’est mis à remarquer la présence des oiseaux, qui n’ont pas tardé à se retrouver, eux aussi, dans sa “boîte à images”.
Au retour de ce voyage en Tanzanie, il a réalisé à quel point les oiseaux étaient partout autour de nous, aussi bien à la ville qu’en pleine forêt, et s’est lancé avec une énergie accrue dans une prolifique aventure ornithologique.






Étourneaux sansonnets, pic à ventre roux, geai bleu, butor d’Amérique, busard Saint-Martin et cygnes trompette. Photos: Rémi Lemieux
Qu’il s’agisse de l’habitat des oiseaux, souvent menacé, de leur parcours migratoire, de leurs habitudes alimentaires, de leur répartition géographique ou de leur survie, entre autres sujets, Rémi est intarissable.
En préparation de cet article, j’ai fait avec lui une très courte expédition au lac des fées, qui est entouré d’une forêt située à la limite de notre quartier. J’ai alors pu observer l’observateur, mais aussi la présence d’oiseaux que je n’aurais jamais remarqués si l’oeil exercé dudit observateur ne les avait pas systématiquement débusqués, que ce soit sur l’eau, sur terre ou dans les airs.
Et, bien sûr, nous avons parlé de la fragilité de certaines espèces dans le contexte climatique, aussi bien actuel que futur.
“Haut les coeurs!”, comme on le disait autrefois pour alimenter le courage de celles et ceux qui faisaient face à l’adversité. Et que (sur)vivent avec nous les oiseaux!




Épervier de Cooper, grand pic, grande aigrette et Rémi, le grand observateur. Photos: Rémi Lemieux
Vraiment chouette ce petit photo roman sur Rémi. Je ne savais pas que son penchant pour la photographie d’oiseaux s’était développée lors de l’expédition au Kilimanjaro. On peut supposer que c’est au retour qu’il a cessé ou presque de photographier des humains et que l’album de famille s’est dégarni (hihi, hein Rémi!)
Ah, merci pour cette petite touche humoristique, bien sympathique!
Tu as malheureusement raison Lucie…;-)
Félicitations Rémi.. ta passion est contagieuse et tes photos sont merveilleuses. Dommage qu’on ne reste pas dans la même ville car j’aime beaucoup aller faire de la photo avec toi. J’en apprends et c’est toujours plaisant.
C’est réciproque. Ta passion pour la photographie est à la source de la mienne!
Merci pour ce partage!
Très belles photos et présentation inspirante.
Et merci à toi d’être passée par le Petit Parc!
Admiratrice du talent de Rémi!
Bravo pour cette réalisation!
Quelle patience!
Salut, Lise, et merci pour ton message, qui fait plaisir à lire.
J’ai eu la chance de voir Rémi à l’oeuvre lors d’une petite escale à Luskville où il était venu observer les dindons sauvages et ma foi, comme dans la chanson…
Les dindons se dandinaient, sa patience fut recompensée .
Je me souviens très bien. Encore ma plus belle photo de dindon… 😉