Salut Daniel! Tu as bien raison. Cette mésaventure date de quelques quelques années, mais ça fait du bien de se la sortir du système en la dessinant! Et il semblerait que l’effrayant effrayé ait rencontré une effrayée effrayante…
Une époque, un milieu, une période de la vie où l’insouciance et la violence se percutent parfois… Et ainsi va la vie.
Belle BD, bien réelle. Merci, Ja.
Je pense que les policiers prendraient les choses moins à la légère aujourd’hui…
La population aussi ; imaginez l’émotion si de telles agressions avaient lieu de nos jours.
Salut Henri! Je suis d’accord avec ta première assertion. Cependant, il y a encore aujourd’hui beaucoup trop d’agressions sexuelles, sous différentes formes, et la pandémie n’a pas aidé.
Merci Jany ne m’avoir fait découvrir ce site Internet intéressant. Je viens de voir tes trois BD et n’ai pas été… effrayé, mais bien impressionné par l’impressionnante artiste que tu es. Que de talent tant pour le dessin que pour les scénarios!
Le sujet est pertinent car le taux des voleurs et violeurs est en hausse l’été et ça les policiers le savent. Bravo à la bédéiste de nous le rappeler .
La différence pour nous les femmes c’est que nous ne savons pas à l’avance si c’est un voleur ou un violeur qui enjambe le balcon ou la fenêtre .
Donc soyez vigilantes les filles , la meilleur préparation dans ce genre de situation est de penser à l’avance ce que je ferais si ça m’arrivait pour me défendre ( ex: couchée, dans le noir, je ferais quoi ? et choisir ce que vous vous sentirez capable de faire ) Et en danger la mémoire va vous le rappeler.
Rachel, ex- instructrice de Wen-do
Merci pour ces remarques pertinentes et ces bons conseils, Rachel! J’ai beaucoup apprécié vous voir dans le film La coop de ma mère, d’Ève Lamont, où j’ai découvert que vous étiez une de ces fameuses instructrices de wendo, à l’époque. Merci encore pour ces cours. Dans mon cas ils ont fait la différence, ce fameux soir-là.
Merci Janie,
Encore une fois, une BD simple et efficace! Bravo.
Il m’est arrivé plus d’une fois d’être agressée sur la rue ou un sentier. Chaque fois, c’est le réflexe de la colère plus grande que la peur qui m’a sauvée. Sacrer et gueuler, enragée comme un diable dans l’eau bénite, et me débattre ont fait douter et fuir les agresseurs. J’ai été chanceuse! La dernière fois, c’était il y a environ un an. Je ne suis plus jeune… Suite à ça, je me sens moins brave maintenant pour me promener seule sur des sentiers moins fréquentés. Je trouve ça triste!
Lise, ce commentaire, où tu évoques ta propre histoire, souligne que la peur et la perte de liberté continuent d’ébranler la vie de bien des femmes. Merci d’en avoir parlé, c’est important!
Je me souvenais que tu avais déjà parlé de cette mésaventure de l’effrayant effrayé (il y quelques années de cela), c’est bien de la voir en bd !
Salut Daniel! Tu as bien raison. Cette mésaventure date de quelques quelques années, mais ça fait du bien de se la sortir du système en la dessinant! Et il semblerait que l’effrayant effrayé ait rencontré une effrayée effrayante…
«L’effrayant effrayé de rencontrer une effrayée effrayante». ahahah bien dit!
Je me souviens aussi d’avoir entendu Jany parler de cette affaire. J’en étais resté sidéré.
Une époque, un milieu, une période de la vie où l’insouciance et la violence se percutent parfois… Et ainsi va la vie.
Belle BD, bien réelle. Merci, Ja.
Très juste, merci Mireille!
C’est très réussi Jany, dessin, expressions, texte, bravo!
Et ça fait remonter des souvenirs de jeunesse, les 4Jeudis et Cie.
Merci pour ces mots encourageants, Sylvie!
Belle BD bravo! … et un beau rappel que les femmes ont la capacité de se défendre, il faut juste en être convaincue.
Quelle remarque pertinente, c’est justement ce que je cherchais à exprimer à travers cette BD.
Je pense que les policiers prendraient les choses moins à la légère aujourd’hui…
La population aussi ; imaginez l’émotion si de telles agressions avaient lieu de nos jours.
Salut Henri! Je suis d’accord avec ta première assertion. Cependant, il y a encore aujourd’hui beaucoup trop d’agressions sexuelles, sous différentes formes, et la pandémie n’a pas aidé.
Merci Jany ne m’avoir fait découvrir ce site Internet intéressant. Je viens de voir tes trois BD et n’ai pas été… effrayé, mais bien impressionné par l’impressionnante artiste que tu es. Que de talent tant pour le dessin que pour les scénarios!
Ça donne un élan, des mots comme ça, merci André!
Le sujet est pertinent car le taux des voleurs et violeurs est en hausse l’été et ça les policiers le savent. Bravo à la bédéiste de nous le rappeler .
La différence pour nous les femmes c’est que nous ne savons pas à l’avance si c’est un voleur ou un violeur qui enjambe le balcon ou la fenêtre .
Donc soyez vigilantes les filles , la meilleur préparation dans ce genre de situation est de penser à l’avance ce que je ferais si ça m’arrivait pour me défendre ( ex: couchée, dans le noir, je ferais quoi ? et choisir ce que vous vous sentirez capable de faire ) Et en danger la mémoire va vous le rappeler.
Rachel, ex- instructrice de Wen-do
Merci pour ces remarques pertinentes et ces bons conseils, Rachel! J’ai beaucoup apprécié vous voir dans le film La coop de ma mère, d’Ève Lamont, où j’ai découvert que vous étiez une de ces fameuses instructrices de wendo, à l’époque. Merci encore pour ces cours. Dans mon cas ils ont fait la différence, ce fameux soir-là.
Belle BD. C’est venu me chercher….
Merci Janie,
Encore une fois, une BD simple et efficace! Bravo.
Il m’est arrivé plus d’une fois d’être agressée sur la rue ou un sentier. Chaque fois, c’est le réflexe de la colère plus grande que la peur qui m’a sauvée. Sacrer et gueuler, enragée comme un diable dans l’eau bénite, et me débattre ont fait douter et fuir les agresseurs. J’ai été chanceuse! La dernière fois, c’était il y a environ un an. Je ne suis plus jeune… Suite à ça, je me sens moins brave maintenant pour me promener seule sur des sentiers moins fréquentés. Je trouve ça triste!
Lise, ce commentaire, où tu évoques ta propre histoire, souligne que la peur et la perte de liberté continuent d’ébranler la vie de bien des femmes. Merci d’en avoir parlé, c’est important!