Ah, le printemps, quand on ouvre enfin les fenêtres et que la rumeur du dehors entre dans la maison.
Ah, l’automne, quand on ferme enfin les fenêtres et que l’intérieur se recueille dans le silence.
On n’est jamais content, ou alors pas longtemps.
(Ce court texte n’aura donc pas le temps de vous déplaire.)