On dirait que c’est quand j’ai le plus besoin de dormir, quand la vie est vraiment surchargée, que je dors le moins. La nuit venue, les idées, les stress et les émotions font un tourbillon dans la tête, et les yeux piquent, mais ne veulent pas se fermer. Les heures interminables avant le jour s’étirent devant, la fatigue accrue anticipée hante aussi. Savoir que c’est tout dans la tête ne réduit en rien la souffrance.
Des fois je sors mes crayons. Je fais une tisane, j’essaie de sourire. J’attends le soleil.
Dessin par moi-même 😉
3 réponses
Moi aussi ça m’arrive! J’ai lu plusieurs livres pendant ces moments de sommeil perdus.
Merci du partage. J’apprécie xx
Je prend la moitié d’un sachet de néocitrant/nuit et le tour est joué. Puisque c’est plutôt rare, l’usage pharmacologique est acceptable.