Cher M. le président, ou Vladimir (je peux vous appeler Vladimir?),
Voulez-vous être mon valentin?
Je pensais que si vous pouviez arrêter la guerre, vous auriez peut-être le temps de venir chez nous, manger une bonne soupe aux légumes, avec du pain au fromage frais du four.
Nous pourrions prendre un petit verre de vin (ou de la vodka si vous préférez, j’aurais juste à faire des emplettes), et vous pourriez me raconter tous vos soucis. Je vous écouterai à cœur ouvert.
Après, il y aura du gâteau, au chocolat pour bien souligner la Saint-Valentin, et il y aura une chandelle dessus. Nous pourrions faire un souhait ensemble pour une paix durable, pour la reconnaissance de la valeur de la vie, pour l’avenir, avant de souffler la chandelle.
Ça vous dirait? Répondez-moi par message privé SVP.
Pour bien souligner la fête de l’Amour, cette année, j’ai pensé essayer d’aimer les personnes que j’aime le moins. Certes, il y a bon nombre de candidats sur la liste, mais en ce moment M. Poutine a la palme. Aimer les gens aimables c’est bien aisé, mais aimer les gens qui, disons, font preuve d’un comportement peu sociable… eh bien, ça demande tout un effort. L’humour aide à faire passer la pilule, mais sachez que le sentiment au fond est tout aussi sincère que naïf.
Une réponse
Quelle belle idée Stéphanie! Oui, notre monde a besoin de plus d’amour.